La comptabilité
Demande de services et explication de la comptabilité.
lundi 12 septembre 2011
Les principes comptables généralement reconnus
L’expression “principes comptables généralement reconnus” (PCGR) est employé par les comptables et les vérificateurs depuis de nombreuses années.
Le but des principes comptables :
C’est de fournir aux utilisateurs des états financiers pour l’information pertinente dont ils ont besoin pour prendre des décisions. Cela leurs permet de fournir des états financiers qui ont les qualités suivantes :
Les données financières aussi réalistes que possible
Les données financières qui sont utiles et facilement analysables
La reconnaissance d’un principe comptable :
Ils doivent posséder ces caractéristiques :
Être cohérent avec les objectifs de l’information comptable.
Être en usage dans un très grand nombre de cas
Avoir l’appui des associations comptables professionnelles
Avoir l’accord des chercheurs en comptabilité
Être utilisé dans un grand nombre de cabinets de comptable
Être en application dans une bonne proportion d’entreprises
Les postulats comptables :
En qui sa consiste;
Les postulats comptables sont des hypothèses concernant l’environnement social et économique.
Ils ne servent pas directement de guide pour mesurer ou analyser les données économiques; ils préparent plutôt la voie à la formulation des principes comptables
Les postulats représentent un préalable dont l’acceptation est nécessaire pour permettre une démonstration.
Les postulats se caractérisent principalement par le fait qu.ils sont acceptés sans qu.il soit nécessaire de les démontrer. En comptabilité, l’acceptation des postulats a permis l’élaboration des principes comptables, lesquels engendrent les caractéristiques de l’information comptable d’où pourront découler les normes comptables.
mercredi 7 septembre 2011
Définition (3)
Coût des marchandises vendues :
Charge de l’état des résultats qui représente la coût d’achat des marchandises qui ont été vendues durant une période.
Méthode de l’inventaire périodique :
Méthode de tenue de livre de la comptabilité des marchandises en stock qui consiste à déterminer périodiquement la quantité et la valeur des articles en main en procédant à un dénombrement matériel de ces derniers.
Méthode de l’inventaire permanent :
Méthode de tenue de la comptabilité des marchandises en stock qui consiste à enregistrer les mouvements d’entrée et de sortie, au fur et à mesure qu’ils se présentent, et à calculer chaque fois le nouveau solde afin d’avoir un inventaire comptable constamment à jour.
Achats :
Ensemble des marchandises acquise par l’entreprise durant une période et dont la revente est conforme à l’objet normal de son exploitation.
F.O.B. (free on board):
Condition de vente stipulant le moment de la vente et le paiement des coût de transport selon l’entente entre les parties.
Fret à l’achat :
Somme exigée à l’acheteur par le transporteur pour le transport de marchandises.
Journal des encaissements :
Journal spécialisé dans lequel sont enregistrées chronologiquement toutes les entrées de fonds d’une période donnée.
Journal des achats :
Journal spécialisé utilisé pour comptabiliser les transactions d’achats effectuées à crédit.
Journal des décaissements :
Journal spécialisé dans lequel sont enregistrées chronologiquement les sorties de fonds d’une période donnée.
Retenues salariales :
Ensemble des sommes que l’employeur retranche de la rénumération attribuée à ses salariés à titre obligatoire ou facultatif. Les sommes ainsi retenues figurent dans des comptes de passif jusqu’au moment ou l’employeur les remet à leur destinataire.
Exemption personnelles :
Somme liées à la situation familiale du contribuable, à son âge, etc., que la loi lui permet de déduire dans le calcul de son revenu imposable.
Salaire net :
Somme d’argent reçue effectivement par un salarié après que son employeur a déduit les retenues salariales de son salaire brut.
dimanche 4 septembre 2011
Les déductions salaraile.
Lorsque vous recevez votre chèque de paye, vous remarquez que ce n'est pas le montant total que vous avez gagné qu'il vous reste dans vos poches. Cela est tout à fait normal car nous devons payer les déductions salariales.
Ici je tiens à vous avertir que les déductions que je vais mentionné sont celle de la province de Québec au Canada.
Les retenues salarial :
Régime de rentes du Québec : Ce régime sert à prévoir notre retraite.
Régime québécois d’assurance parentale : Celui-ci sert aux futurs parents qui ont eu un enfant, durée un an pour les deux parents.
L’assurance-emploi : Si vous perdez votre emploi, vous pouvez recevoir 55% de votre salaire brut sur une période de 45 semaines.
L’impôt fédéral et provincial : Ces impôts sert à offrir plusieurs services gouvernementaux aux citoyens.
Et plusieurs autres dépendant de chaque entreprise.
Régime de rentes du Québec :
Il est entré en vigueur le 1e janvier 1966, il est universel et tous les citoyens âgés 18 à 70 ans doivent y participer. Le moment venu il permet de recevoir différentes rentes tel que la rente de retraite.
Régime québécois d’assurance parental (RQAP) :
En vigueur depuis le 1e mars 2005, il assure aux travailleurs le versement d’une prestation financière s’il se prévale d’un congé de maternité. Le montant admissible est d’environ 70% de votre salaire brut.
L’assurance-emploi :
Chaque employé doit contribuer à ce régime, il permet entre autre de recevoir un montant en cas de perte d’emploi ou de maladie.
L’impôt fédéral :
Les déductions de l’impôt fédéral dépendent de la situation familiale de chacun. Les tables d’impôt sont conçues pour que l’employé n’ait à débourser ou à retirer aucune somme d’argent à la fin de l’année.
L’impôt provincial :
La table des retenues est préparée selon la même logique que celle de l’impôt fédéral.
Il existe plusieurs informations que vous pouvez trouver sur les sites officiels de chacun des gouvernements que je viens de mentionner, il suffit de s’informer auprès des bonnes ressources.
jeudi 1 septembre 2011
L'ouverture d'un dossier d'employé.
Les normes du travail (au Québec) établi les règlements minimale en l'absence de conditions prévue par une convention collective. L'entreprise est obligé par la loi de tenir un registre des employés à jour et avec tous les renseignements nécessaires qui pourrait servir si le gouvernement le demande.
Les renseignements personnels :
Les renseignements qu'il faut récolté doivent rester confidentielle et personnel à l'entreprise. Il ne doivent jamais être divulgué à qui que se soit. Voici quels sont ces renseignements :
Nom et prénom de l'employé
Adresse résidentielle complète
Numéro d'assurance sociale (N.A.S.)
Numéro de téléphone et adresse de courriel
Nom de l'employeur précédent
Emploi précédent
Date de naissance
Sexe de l'employé
Situation familial et nombre de personne à charge.
Il est possible en faisant quelques recherches sur le web de trouver des modèles de fiche pour employé, il suffit simplement de choisir celle qui nous convient.
lundi 29 août 2011
Les journaux spécialisés.
Lorsque l'entreprise effectue de nombreuses transactions répétitives, il devient difficile et très long de suivre toutes ces transactions. Pour faciliter le travail on utilisera des journaux spécialisés et chacun d'eux est exclusivement consacré à l'enregistrement d'une catégorie. Il en existe plusieurs, mais nous ne parlerons que des plus fréquemment utilisés au nombre de 4.
Le journal des ventes :
On inscrit dans ce journal toutes les transactions quotidiennes de vente de l'entreprise qui ont payé par carte de crédit. À la fin du mois on reporte le montant total dans le grand livre. Ce qui engendre beaucoup moins d'erreur de transcription si votre journal des ventes est vérifié et corrigé.
Le journal des encaissements :
Ce journal sert à enregistrer toutes les transactions qui sont payé comptant peu importe de quelles façons. Il va contenir plusieurs colonnes selon le type d'entreprise et selon ses besoins. À la fin du mois, on reporte le montant total dans le grand livre.
Le journal des achats :
Il sert à comptabilisé les achats effectuées faites à crédit. C'est le même principe que le journal des ventes, mais conçu pour le journal des achats. On comptabilise tous les achats fait à crédit et on transporte le montant total du mois dans le grand livre.
Le journal des décaissements :
Ce journal comprends plusieurs colonnes qui permet d'enregistré toutes les sorties d'argent de l'entreprise. Chaque fois que l’entreprise émet un chèque la transaction est enregistré dans le journal des décaissements.
Si vous désirez recevoir des modèles de journaux écrivez-moi un courriel, je vous enverrez le modèle que vous désirez et ce gratuitement.
Le journal des ventes :
On inscrit dans ce journal toutes les transactions quotidiennes de vente de l'entreprise qui ont payé par carte de crédit. À la fin du mois on reporte le montant total dans le grand livre. Ce qui engendre beaucoup moins d'erreur de transcription si votre journal des ventes est vérifié et corrigé.
Le journal des encaissements :
Ce journal sert à enregistrer toutes les transactions qui sont payé comptant peu importe de quelles façons. Il va contenir plusieurs colonnes selon le type d'entreprise et selon ses besoins. À la fin du mois, on reporte le montant total dans le grand livre.
Le journal des achats :
Il sert à comptabilisé les achats effectuées faites à crédit. C'est le même principe que le journal des ventes, mais conçu pour le journal des achats. On comptabilise tous les achats fait à crédit et on transporte le montant total du mois dans le grand livre.
Le journal des décaissements :
Ce journal comprends plusieurs colonnes qui permet d'enregistré toutes les sorties d'argent de l'entreprise. Chaque fois que l’entreprise émet un chèque la transaction est enregistré dans le journal des décaissements.
Si vous désirez recevoir des modèles de journaux écrivez-moi un courriel, je vous enverrez le modèle que vous désirez et ce gratuitement.
jeudi 25 août 2011
Le coût des marchandises vendues.
Le coût des marchandises vendues représente une donnée très importante pour l'entreprise car elle représente une charge très élevée de l'état des résultats. Supposons que vous fabriquez un bureau et vous le vendez 500$, mais il vous a couté 300$ à fabriquer ce qui est votre coût des marchandises vendue, alors votre marge bénéficiaire brute sera de 200$.
Il faut tenir compte du coût des marchandises vendues seulement lorsque c'est une entreprise qui fabrique un produit quelconque.
L'inventaire périodique :
Pour une entreprise qui grandit sans cesse, il peut être difficile de maintenir un inventaire toujours précise et ne jamais manquer de matériel. Heureusement, il existe deux méthodes que l'entreprise peut utiliser, il s'agit de l'inventaire périodique et l'inventaire permanent.
L'inventaire périodique consiste a faire des entrées qui seront comptabilisé dans le achats mais le coût des marchandises vendues ne sera pas comptabilisé immédiatement. On fera des écritures dans le compte ventes et après on devrait faire des inventaires physique à la fin de la période.
L'inventaire permanent consiste à suivre la marchandise à chaque fois que l'inventaire descend ou monte. On devra créer un nouveau compte qui s'appelle stock de marchandise, qui lui va refléter le coût des marchandises vendues. Cette méthode sera plus facile à suivre pour une entreprise qui n'a pas beaucoup de stock en inventaire. Avec cette méthode le compte stock de marchandises est constamment maintenu à jour.
Le fret à l'achat :
Lorsque l'entreprise commande de la marchandise elle doit le faire livrer ou lui même le livrer. Il existe deux expressions qui servent à désigner ces situations.
FOB destination : Si le fournisseur fournit le transport c'est ce que l'on appelle FOB destination et la marchandise (FOB signifiant free on board / franco à bord) appartient au fournisseur tant et aussi longtemps qu'elle n'est pas livrée. Il faut que la marchandise soit livré directement à l'entrepôt de l'acheteur.
FOB point de départ : Par contre , si l'acheteur paie le transport, il doit payer le transport de l'entrepôt du fournisseur à son lieu d'affaires. Un nouveau compte va alors être créer qui s'appellera Fret à l'achat.
P. S. : N'hésiter pas à me laisser des commentaires pour que je puisse me tenir à jour.
mardi 23 août 2011
Définition (2)
Chiffre d'affaires :
Poste des états financiers qui regroupe les produits d'exploitation constatés (les ventes ou les prestations de services), c'est-à-dire l'ensemble des affaires réalisées avec les tiers par l’entreprise dans l'exercice de ses fonctions.
Mandataire :
Personne ou entreprise qui agit au nom, à la place et pour le compte d'une autre personne physique ou moral.
Principe du rapprochement des produits et des charges :
Principe comptable en vertu duquel sont comptabilisées dans la même période que les produits auxquels ils se rapportent. Les produits et les charges sont alors pris en compte dans le calcul des résultats au cours de la même période, contribuant à une mesure plus appropriée du résultat net de la période.
Amortissement :
Charge enregistrée pour une période donnée au titre de l'amortissement des immobilisations, comme les immobilisations corporelles (bâtiments, matériel, etc.)
Valeur résiduelle :
Valeur de réalisation nette probable d'un bien à la fin de sa durée de vie utile pour l'entité : valeur d'un bien dont la durée est expirée.
Durée de vie utile :
La durée de vie utile d'un actif correspond à la période pendant laquelle l'entreprise s'attend à utiliser l'actif, ou encore au nombre d'unités d’œuvre que l'entreprise s'attend à tirer de l'actif.
Valeur comptable :
Valeur attribuée à un élément dans les comptes ou les états financiers. Veut aussi représenter la différence entre le coût d'une immobilisation diminué de son amortissement cumulé.
Charge d'exploitation :
Somme engagée par l'entreprise dans le cadre de ses activités courantes, dans le but de générer des produits d'exploitation.
Rabais :
Remboursement ou note de crédit accordée par le fournisseur à un client, dans le cas de défectuosité ou de bris mineur, pour éviter un retour de marchandise.
Note de crédit :
Document établi par l'entreprise pour aviser son client qu'elle a réduit le solde de son compte en raison d'un rabais, d'un rendu ou de l'annulation d'une opération.
Poste des états financiers qui regroupe les produits d'exploitation constatés (les ventes ou les prestations de services), c'est-à-dire l'ensemble des affaires réalisées avec les tiers par l’entreprise dans l'exercice de ses fonctions.
Mandataire :
Personne ou entreprise qui agit au nom, à la place et pour le compte d'une autre personne physique ou moral.
Principe du rapprochement des produits et des charges :
Principe comptable en vertu duquel sont comptabilisées dans la même période que les produits auxquels ils se rapportent. Les produits et les charges sont alors pris en compte dans le calcul des résultats au cours de la même période, contribuant à une mesure plus appropriée du résultat net de la période.
Amortissement :
Charge enregistrée pour une période donnée au titre de l'amortissement des immobilisations, comme les immobilisations corporelles (bâtiments, matériel, etc.)
Valeur résiduelle :
Valeur de réalisation nette probable d'un bien à la fin de sa durée de vie utile pour l'entité : valeur d'un bien dont la durée est expirée.
Durée de vie utile :
La durée de vie utile d'un actif correspond à la période pendant laquelle l'entreprise s'attend à utiliser l'actif, ou encore au nombre d'unités d’œuvre que l'entreprise s'attend à tirer de l'actif.
Valeur comptable :
Valeur attribuée à un élément dans les comptes ou les états financiers. Veut aussi représenter la différence entre le coût d'une immobilisation diminué de son amortissement cumulé.
Charge d'exploitation :
Somme engagée par l'entreprise dans le cadre de ses activités courantes, dans le but de générer des produits d'exploitation.
Rabais :
Remboursement ou note de crédit accordée par le fournisseur à un client, dans le cas de défectuosité ou de bris mineur, pour éviter un retour de marchandise.
Note de crédit :
Document établi par l'entreprise pour aviser son client qu'elle a réduit le solde de son compte en raison d'un rabais, d'un rendu ou de l'annulation d'une opération.
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